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La mise sous perfusion de la Grèce ne sert à rien, laissons-la pour son bien quitter l’euro
23/04/2010 15:10
L’annonce par le gouvernement français qu’il pourrait engager jusqu’à 6,3 milliards d’euros pour sauver la Grèce du défaut de paiement, s’ajoute aux monceaux d’argent déjà mobilisés pour venir en aide à un système à bout de souffle : des dizaines de milliards pour les banques et le secteur automobile, sans même parler des subventions qui seront versées bientôt aux compagnies aériennes pour éponger l’interruption du trafic pour cause de nuage volcanique…
Bien sûr, à chaque fois on assure le contribuable que cet argent est dispensé sous forme de prêts, qu’on aurait plus à perdre qu’à gagner de laisser couler les uns ou les autres, que des contreparties importantes ont été obtenues, etc.
Mais, à la vérité, dans chacune de ces opérations, ledit contribuable éprouve rapidement le désagréable sentiment que le compte n’y est pas et, malheureusement, la suite des événements lui donne bien souvent raison. On se souvient en particulier de la quantité insuffisante de crédit alloué par les banques aux particuliers et aux PME, l’Etat ayant refusé d’y renforcer son contrôle en entrant dans les conseils d’administration. On pense aussi aux projets de délocalisation de Renault vers l’Europe orientale, malgré les subsides versés par la puissance publique. On pense enfin, à l’autre bout de la chaîne, aux sempiternelles restrictions imposées au citoyen à travers la politique de non-remplacement d’un fonctionnaire sur deux partant à la retraite, une politique de fausse économie permettant au gouvernement d’économiser 500 millions d’euros par an au prix d’une désertion de l’Etat très coûteuse dans ses répercussions.
On a ainsi le sentiment que la puissance publique s’empresse de délier à chaque occasion les cordons de la bourse pour voler au secours, sans réelle contrepartie, d’un système qui nourrit les problèmes plus qu’il ne les résout. Le cas de l’aide accordée par les pays de l’UE à la Grèce ne fait pas exception : en cherchant à sauver la monnaie unique à coup de milliards d’euros, les pays de l’eurozone, France en tête, contribuent à alimenter un problème qui est d’abord celui des Grecs mais aussi le leur.
Ainsi que je l’ai déjà souligné, porter à bout de bras la Grèce sans lui permettre de dévaluer ne servira à rien, car jamais dans l’histoire un pays a pu relancer son économie par une politique d’austérité sans dévaluation (ce que l’euro empêche, par définition). Le fiasco du « Bloc or » de Pierre Laval, au début des années trente, en demeure la preuve la plus cinglante, hélas ignorée par nos élites.
Ensuite, même si on parvient de la sorte à rassurer momentanément les marchés sur l’avenir de la Grèce (à supposer que des troubles sociaux majeurs ne s’invitent pas dans la dance d’ici-là), il y a fort à parier que ceux-ci, à juste titre toujours aussi peu convaincus de la solidité de l’eurozone, en mettent à l’épreuve d’autres « maillons faibles » comme le Portugal, l’Irlande, l’Espagne, voire l’Italie… Que pourront faire alors les autres pays membres ? Lever de gigantesques prêts jusqu’à se mettre eux-mêmes dans la situation de leurs « protégés » ? Le tout, alors que la situation économique des pays « malades » ne sera pas redressée, bien au contraire, sous l’effet des politiques de déflation généralisées impulsées sous la baguette de Berlin…
On le voit, en prétendant faire sortir par la porte le scénario du défaut de paiement en cascade des pays les plus fragiles, on risque de le faire rentrer par la fenêtre au détriment de tous les membres de l’euro, même les plus solides. D’autant que la recette que veut appliquer l’Allemagne à la Grèce concerne autant les autres pays de l’eurozone, forcés de s’aligner sur la stratégie germanique de réductions des coûts de main d’œuvre pour tenter de maintenir leurs parts de marchés dans l’UE (leur premier marché à l’export, il faut le souligner)…
De quelque côté que l’on se tourne, force est ainsi de constater que c’est pure folie de maintenir le système actuel de la monnaie unique sous perfusion, de la même manière que les Danaïdes du mythe grec s’efforçaient en vain de remplir des tonneaux percés ! On ferait mieux d’acter une fois pour toutes, avant qu’il ne soit trop tard, que ce système, fondé sur la négation des faits nationaux, c'est-à-dire de la réalité elle-même, est insensé et suicidaire.
Quelle est la solution ? Pour la Grèce, il est évident que tôt ou tard elle devra quitter l’euro et dévaluer sa monnaie nationale restaurée, afin de rétablir sa compétitivité. Pour les autres, la voie de la sagesse résiderait, encore une fois, dans l’instauration d’une monnaie commune remplaçant la monnaie unique, permettant à des monnaies nationales, au sein d’une alliance monétaire européenne les surplombant, de s’ajuster les unes par rapport aux autres selon les fluctuations des économies respectives.
Plutôt que de jeter comme aujourd’hui 6,3 milliards d’euros par la fenêtre, la France pourrait alors, comme tous les autres pays européens, mobiliser ses efforts au service de sa prospérité et de son bien-être.
NDA
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Deux poids, deux mesures
23/04/2010 15:05
La paralysie du transport aérien est un évènement rare et on peut comprendre la galère que cela a représentée pour des millions de voyageurs à travers le monde.
Je m’interroge cependant sur l’ampleur de la couverture médiatique. J’aimerais qu’au moins une journée dans l’année les chaînes de télévision et de radio consacrent la même attention aux centaines de milliers de chômeurs jetés comme des malpropres de leurs entreprises délocalisées.
Quand parlera-t-on enfin de cette misère sociale qui envahit les pays d’Europe en raison de l’absurdité de la politique économique menée ? Qui se soucie de la montée, dans tous les pays à chaque élection, des mouvements politiques de plus en plus radicaux ?
Manifestement les proches du microcosme parisien ont eu plus de difficultés pour rejoindre leur Club Med favori que pour garder leur emploi !
NDA
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Une loi d’interdiction générale du voile intégral, enfin !
23/04/2010 08:48
COMMUNIQUE DE PRESSE
Interdiction générale du voile intégral : le gouvernement ne doit pas céder !
La décision de proposer une loi d’interdiction générale du port du voile intégral est une bonne décision, que je réclame depuis des mois et sur laquelle le gouvernement ne doit pas céder.
Face à une gauche froussarde et souvent hypocrite sur le sujet, face à des parlementaires UMP parfois ambigus, il lui appartient en effet de mettre un terme à cette pratique moyenâgeuse qui trouble l’ordre public et n’a rien à voir avec la religion musulmane.
L’écrasante majorité des musulmans français a tout à gagner de cette interdiction générale qui non seulement ne stigmatisme pas l’islam, mais permettra à cette religion d’être pratiquée dans le respect clair et incontesté de la République.
Quant aux pseudo-réserves exprimées par le Conseil d’Etat, elles ne tiennent pas la route si l’on s’appuie sur le motif juridique du trouble à l’ordre public.
Enfin, gardons-nous de faire de cette loi une posture ou un thème de diversion occultant l’essentiel : les problèmes majeurs de notre pays aujourd’hui demeurent bien entendu la souffrance économique et sociale, ainsi qu’une insécurité qui gangrène les quartiers et frappe toujours les plus vulnérables, quelles que soient leurs origines et leur religion.
Nicolas DUPONT-AIGNAN Député de l’Essonne Président du rassemblement gaulliste Debout la République
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Les naufragés du ciel doivent être indemnisés !
21/04/2010 22:45
COMMUNIQUE DE PRESSE
UNE INDEMNISATION DES USAGERS QUI RISQUE DE PARTIR EN CENDRES
Alors que le Gouvernement semble aux petits soins pour indemniser les compagnies aériennes et les professionnels du tourisme durement touchés par l’interruption du trafic aérien, Debout la République et Jean-Claude Delarue s’interrogent sur la réalité et l’efficacité des mesures envisagées pour défendre les usagers victimes du nuage de cendres islandais.
Ainsi, alors qu’Hervé Novelli a réuni dès mardi après-midi les professionnels dont l’activité a été touchée pour évoquer les aides que le gouvernement apportera au secteur "pour soutenir les trésoreries", les usagers se sentent une nouvelle fois seuls et démunis face à des compagnies aériennes et tours-opérateurs qui refusent souvent tout remboursement et se perdent en vagues promesses de "report" des billets achetés.
Ce sont une nouvelle fois les plus modestes, à savoir ceux qui n’ont pas les moyens d’acheter de billets "flexibles ou remboursables", qui vont le plus durement trinquer en perdant leurs jours de congés, le prix d’achat de leur voyage "clé en main" et souvent l’ensemble de leurs économies de l’année, laborieusement collectées pour s’offrir un simple moment de détente en famille.
De plus, la mesure phare envisagée par les pouvoirs publics, à savoir un report du voyage "dans les 6 mois", est une mauvaise nouvelle pour le grand nombre de ceux qui ne peuvent - en raison d’un travail exigeant et de la perte de leurs jours de congés - reprendre de vacances dans ce laps de temps.
Debout la République s’était élevé avec Jean-Claude Delarue contre le "deux poids deux mesures" mis en oeuvre par le Gouvernement en janvier, qui avait immédiatement remboursé les usagers se rendant à la City et victimes d’une panne d’Eurostar, alors qu’il laissait les usagers du RER A subir une longue et pénible grève sans le moindre remboursement.
C’est pourquoi nous craignons une nouvelle injustice et nous appelons solennellement le Gouvernement à prendre des mesures rapides et concrètes destinées à soulager les usagers victimes d’un principe de précaution appliqué à la lettre.
En plus d’avoir perdu leurs vacances, leurs jours de congés et leurs économies, il serait honteux que les usagers voient le Gouvernement indemniser des compagnies et des professionnels du tourisme sans engagement ferme de leur part en faveur des consommateurs.
Debout la République et Jean-Claude Delarue exigent donc le conditionnement des aides à une indemnisation efficace et rapide des usagers frappés par l’interruption totale des vols.
Nicolas Dupont-Aignan, Député de l’Essonne et Président de Debout la République
Jean-Claude Delarue, porte-parole de la Fédération des Usagers des Transports et des Services Publics (FUT-SP)
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Liberté, Egalité, Fraternité : les Français ont mal à la République...
21/04/2010 22:34
Les Français se sentent de moins en moins libres, égaux, fraternels (sondage)
07/04/2010 16h38 GMT - POLITIQUE-SONDAGE - Nouvelles de France - AFP
PARIS, 7 avril 2010 (AFP) - Les Français se sentent de moins en moins libres, égaux et fraternels, selon un sondage TNS-Sofres-Logica autour de la devise républicaine réalisé à l’occasion de la journée du Livre politique (10 avril), et publié jeudi dans le Nouvel observateur.
La liberté est la valeur républicaine qui rassemble le plus de suffrages : elle est la préférée de 47%, suivie de l’égalité (36%) et de la fraternité (14%). 3% sont sans opinion.
55% des personnes interrogées répondent que "les gens depuis une dizaine d’années", sont "de moins en moins libres", 13% estimant qu’ils sont "de plus en plus libres", et 30% ni l’un ni l’autre.
Sur les raisons de cette diminution, 48% des personnes citent "de plus en plus de restrictions, d’interdits et de recommandations dans la vie quotidienne", et 40% "les contrôles radar de plus en plus nombreux".
En revanche, 40% des gens considèrent qu’"internet offre une plus grande liberté d’expression", autant estiment qu’"il y a de moins en moins de tabous dans la société, les moeurs sont plus libres (homosexualité, divorce, avortement etc.)".
Par ailleurs, 67% des personnes interrogées jugent que la société est "de plus en plus inégalitaire", contre 6% d’une opinion inverse, 24% répondant ni l’un ni l’autre, et 3% étant sans opinion.
52% lient les inégalités "au fait d’avoir un emploi stable ou non", 37% "à la couleur de la peau", 21% aux handicaps et au statut professionnel (fonctionnaire ou salarié du privé), 18% à la nationalité, et 17% à l’âge et au lieu d’habitation.
En revanche, 22% des personnes interrogées considèrent que les inégalités qui reculent le plus sont liées aux handicaps, 19% à l’instruction, et 18% au sexe.
Pour ce qui est de la fraternité, 60% des personnes interrogées répondent qu’il y a "de moins en moins de fraternité", 8% "de plus en plus", 29% ni l’un ni l’autre (3% sans opinion).
Enquête réalisée les 25 et 26 mars auprès d’un échantillon représentatif de 1.000 personnes de 18 ans et plus interrogées en face à face à leur domicile (méthode des quotas).
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